COSMO-PSYCHOLOGIE et l'image de la MERE
Le RAPPORT à la MERE
Nous sommes tous concernés par le rapport à la mère.
Nous avons tous une mère et pour un grand nombre vous êtes des mères.
Nous allons évoquer des choses parfois délicates et difficiles parce qu'elles vont remettre en question certains d'entre nous en tant qu'enfant et en tant que mère. Toutefois ne nous sentons pas culpabilisés pour autant, le monde est monde tout simplement mais sa compréhension est complexe et non compliquée.
Nous avons, avec nos enfants, agi du mieux que nous avons pu, avec nos moyens.
Nous avons fait du mal, du bien, et tout cela était indispensable. Car tout être humain vient sur Terre avec un projet à vivre (pour certain une mission...un peu fort comme terme), une création à réaliser.
Cette action ne peut être conduite qu'avec les erreurs et les réussites des parents. C'est à travers elles que nos enfants peuvent se réaliser, créer et se créer.
Il n'y a den de plus archaique que la relation à la mère, la nôtre, ou la mère en nous, même les hommes ont en eux une mère qui sommeille. Il nous faut donc relativiser les difficultés que nous allons aborder, car il y a toujours dans ce rapport de la douleur et de l'ambivalence.
Nous devrions aussi déjà parler de l'image mère qui est une synthèse analytique entre la Maison X et la qualité de la Lune.
C'est le résultat du rapport du sujet à la mère. Nous verrons ceci une autre fois, dans un prochain article.
Habituellement (ou astrologiquement parlant) nous analysons l'image maternelle pour ce qu'elle est ou ce qu'elle est devenue de façon définitive dans la structure du sujet.
Nous allons voir maintenant comment elle se constitue, en fonction de quelles variables,
du point de vue psychanalytique et du point de vue cosmo-psychologique.
Qu'est-de qui fait dans la vie d'un individu, d'un enfant, et par conséquent dans un thème, que peu à peu se constitue dans sa psyché ce qu'on appelle l'image maternelle et qui va être définitivement structurale ?
C'est une analyse subtile, difficile à appréhender, car le vécu de l'enfant en très bas âge, avec sa mère, est très achaïque. Cela a été étudié par Mélanie Klein (voir sa théorie sur l'archaisme).
D'une façon générique le rapport à la -mère :
-C'est le rapport au corps d'abord
-C'est ensuite le rapport au monde
-C'est enfin le rapport au Sens
Il est très difficile d'être mère, voire impossible. C'est un statut avec de telles responsabilités qu'il vaut mieux ne pas y songer avant, pour oser assumer de l'être.
Etre mère c'est être ambivalente, dans tous les cas et toujours. C'est être à la fois pénétrée d'amour pour l'être mis au monde et être martrisée par la haine interne inconsciente.
Pendant neuf mois cet enfant a été l'objet de fantasmes de bonheur et dès son avènement il déchire la mère. Il ne peut venir au monde qu'en tuant quelque chose dans la mère.
Il y a eu, dans les maternités, une pratique qui consistait à tenir le bébé debout, et le faire marcher sur le ventre de la mère. C'est cela être mère, c'est cela être enfant, à peine venu au monde, notre existence exige que nous marchions sur le corps de notre mère. Ce qui va la martyriser psychologiquement, mais inconsciemment aussi.
Etre mère c'est gérer l'ambivalence et la culpabilité. Tout faire et tout ne peut pas être bien.
FREUD disait: « Elevez vos enfants comme vous voudrez, de toute façon vous aurez tort » .
Toutes les mères vivent cette culpabilité, consciemment ou non, elles sont devant un paradoxe, car faire naître un enfant à la vie c'est le donner à la mort.
C'est la première ambivalence.
Ensuite elle doit le faire naître au monde, l'accoucher à lui-même, l'accompagner, pas à pas, jusqu'à sa différenciation.
Elle doit se séparer de lui en le désignant comme sujet séparé d'elle. C'est la deuxième naissance de l'enfant. C'est le deuxième deuil de la mère, c'est sa deuxième souffrance et c'est la deuxième ambivalence à laquelle elle est confrontée. Non seulement elle l'arrache de son corps, mais elle l'arrache aussi de sa tête ; c'est à ce prix là seulement qu'elle le désigne comme un sujet différencié, séparé de d'elle-même en sa qualité de mère.
Pour l'enfant, la mère est le premier objet d'amour parce qu'elle est le premiier corps auquel il a accès. Le visage de la mère est le premier visage, dans lequel l'enfant peut lire sa réalité.
La mère est le représentant primaire de l'extériorité, de l'altérité et de la différenciation.
La relation à la mère est donc la première relation objectale, c'est à dire qu'elle est fondatrice, chez le sujet, de toutes les autres relations d'objet qu'il connaîtra, de toute sa socialisation, de tous ses rapports affectifs.
Notre façon d'aimer, de recevoir l'autre, dépend donc essentiellement de cette relation originaire à la mère ou se qui la symbolise.
Pour Donald VVinnicott, psychanalyste anglais de l'Ecole de Mélanie Klein, le visage de la mère a une importance considérable dans le déloppement psychologique de l'enfant. Il est le premier miroir où il perçoit son propre reflet, flou, encore mal différencié, mais il se précise peu à peu, et en même temps va se préciser et s'affirmer son identité.
Astrologiquement le visage de la mère apparaît en Maison VIl ou en Balance (l'occident du thème).
Le secteur VII ou l'occident est le reflet de la Maison I qui est la primarité du sujet, son émergence (l'orient du thème, le lieu où la lumière se lève).
-"Enfant", je nais en secteur astrologique I ( l'ascendant /l'orient), je cherche mon reflet en maison VII (l'effet miroir).
-"une fois Adulte", j'existe en secteur I et je quête le regard de l'autre en maison VII (le regard de la mère).
Cette dialectique commence au "temps zéro", dès le premier regard ou sourire, l'enfant quête la confirmation sur le visage de la mère.
Dès ce moment précis, le visage de la mère est chargé de cette triple responsabilité, il permet:
-Le rapport au corps.
-Le rapport au monde.
-Le rapport au Sens.
Cela ne peut se réaliser de'façon satisfaisante, qu'à la condition impérative qu'il lise sur levisage matemel son reflet à lui et non simplement celui de sa mère.
Pendant l'allaitement, au sein ou au biberon, le visage du bébé est tourné vers sa mère et il observe. Si la mère le regarde il se sent aimé, reconnu. Si elle est distraite ou préoccupée ou angoissée, il le sent. Il intégrera soit de l'amour sécurisant et valorisant, soit de J'angoisse dont il peut se croire la cause, et ce pour toute sa vie.
On retrouvera çe facteur en cure psychanalytique, chez des sujets qui l'évoquent dans leurs associations, sans même s'en rendre compte.
Si le visage de la mère n'a pas apporté cette confiance, cette structure, le sujet cherchera toute sa vie la confirmation de sa validité. C'est le cas des Lunes Noires en VIl ou Balance qui sont si fréquentes chez les sujets qui se réparent dans le rapport à l'autre (médecins, astrologues, psychothérapeutes, voir Freud et Lacan). Il s'agit de réparer son reflet en permettant à l'autre de se réparer, de se différencier.
En d'autres termes que cherche le regard de l'enfant ?
L'enfant cherche à savoir s'il est vu, s'il existe, et si son propre regard est ainsi validé dans ce retour.
Winnicott dit: « Je vois sur le regard de maman que je suis vu, par conséquent mon regard est valide ; à mon tour je peux créer le monde par mon regard et je peux donc être moi-même le reflet du monde ».
Tout ne se passe pas aussi bien. Une mère peut être préoccupée, dépressive, nous l'avons dit, elle n'aura pas un regard de retour validant pour l'enfant.
L'enfant intégrera le vide, c'est à dire le fairt qu'il n'existe pas vraiment.
En réalité, une mère n'est jamais totalement présente ou totalement absente. Ce qui est nécessaire dans la structuration d'un enfant, c'est que les expériences positives dans le rapport au visage de la mère soient plus nombreuses et de meilleure qualité que les expériences négatives. Une mère n'est pas permanente, il est simplement nécessaire qu'elle soit « suffisamment bonne » selon l'expression, toujours de Winnicott.
Ce sont les excès qui créent la pathologie, à l'inverse, une mère trop présente générerait des symptômes qui empêcheraient aussi le sujet de se structurer hors d'elle.
C'est un paradoxe auquel la mère est confrontée. Il s'agit pour elle de trouver la bonne distance :"maison VIl et la Balance, entre la présence et l'absence, entre la nécessité du regard et l'absence du regard".
Or pour établir la bonne distance, la mère n'aura à sa disposition que sa propre structure et son amour, tout le reste participe de son intuition maternelle. C'est dire qu'elle a toutes les chances de se tromper. Mais dans la plupart des cas, intuitivement, les mères réussissent. Cela tient du miracle.
Le visage de la mère peut être celui d'une autre femme, nourrice, grand-mère, parfois celui du père.
Le besoin de l'enfant est tel qu'il prend là où il peut.
Pour Mélanie Klein, l'enfant qui naît lutte contre la mort, il cherche avidement quelque chose qui lui confirme qu'il existe. C'est pourquoi les enfants, orphelins de guerre, placés en pouponnières où ils ne sont que nourris, peu regardés, peu tenus, par un personnel trop occupé, présentent des retards de croissance, d'intelligence, d'affectivité et peuvent aller jusqu'à se laisser mourir.
En bref,.....quelques mots sur la structure :
Précisons que psychologiquement et psychanalytiquement il n'y a pas de connotation morale.
- Structure hystérique :
La structure d'un individu dépend de la position de la mère par rapport à la Loi du Père, position on ne peut plus difficile car la mère elle-même a eu plus ou moins de problèmes par rapport à son propre père.
La pathologie va dépendre de la distance que cette mère aura ou n'aura pas par rapport à la Loi du Père.
Ou elle adhérera majoritairement, jamais totalement, et nous n'aurons finalement dans le thème de l'enfant qu'une structure névrotique bon enfant, bien adaptée avec quelques problèmes lors des transits.
Mais si la distance est grande de la mère à la Loi du Père, là nous risquons effectivement des structures plus fermement imposées et éventuellement des symptômes donc des pathologies.
Ce qui prédispose à la structure hystérique, c'est la mère qui a tendance à revendiquer pour elle-même la Loi d'une façon généralement avouée claire et, par conséquent, cette mère sera en conflit agi avec la Loi du Père.
Il est clair que la mère qui court désespérément après le phallus pour elle-même et qui le revendique avec idéalisation et même appuie son propre narcissisme sur cette idéalisation, est une mère castratrice, hystérique, et à leur tour, son fils, sa fille se sentiront comme castré idéalisant à leur tour le phallus et se précipitant avec une avidité constante dans la réhabilitation de leur propre phallus, quête -éperdue, et sans cesse déçue puisque la perfection n'est pas atteignable.
Généralement d'ailleurs cette quête trouvera à s'exprimer dans l'économie amoureuse: L'hystétique souffrira toujours d'amour.
Ne soyons pas étonnés si les sujets ayant une organisation hystérique dans leur thème ont une mère hystérique.
- Structure obsessionnelle:
C'est plus compliqué au niveau de la mère de l'obsessionnel, elle ne revendique pas haut et bien le phallus, elle est apparemment une femme soumise, mais femme déçue.
Elle peut avoir un discours dévalorisant sur le père et n'empêche que sa revendication phallique existe même si ellle n'est pas manifestée.
Cette revendication phallique va passer par son enfant, la mère désignera son enfant comme le phallus qui lui manque.
La mère de l'obsessionnel induit le doute qui réside dans le fait que l'enfant n'arrive pas à savoir ce qu'est le désir de sa mère.
La sexualité des parents est souvent Tabou (doutes sur son origine).
La mère a un rapport constant au corps de son enfant, je te lave, je t'astique, je te relave .
L'enfant reçoit des marques d'affection nombreuses et agréables mais qui, peu à peu, deviennent tabou, comme toute sexualité et plaisir.
La mère n'autorise pas de manifestation de plaisir de son enfant et elle ne s'autorise pas elle même à éprouver ce plaisir qui est culpabilisé chez elle.
Le plaisir sous toutes ses formes est Tabou. L'enfant ne comprend pas.
c'est agréable et il n'a pas le droit de manifester son plaisir. Qu'en est-il du plaisir de la mère ?
Ce doute continuel enclenche un besoin constant de savoir, c'est un mécanisme de défense bien utilisé par les intellectuels, mais c'est assez dévitalisant.
- L'organisation perverse:
Elle procède au départ de la même façon mais avec un détail qui a toute son importance, c'est tout simplemnt un fonctionnement psychologique.
La mère est hyperstimulante, mais complaisante, elle éprouve du plaisir dans les soins, dans une sorte de complicité. Elle autorise à son enfant l'accès à ce plaisir mais à l'extrême limite -elle n'éprouve du plaisir que comme cela.
L'enfant est l'unique source de plaisir maternel.
Mais il ne faut pas que cela soit la seule source de plaisir, non seulement au niveau de l'enfant mais aussi au niveau de la mère, car l'enfant ressent inconsciemment tout cela.
Toutefois il est très rare de rencontrer des pervers en clinique car ils ne consultent pas ou s'ils consultent à l'occasion c'est pour être comme quelques chose d'autre.
Les pervers sont dangereux , n'ayons pas peur d'employer le mot, car il y a en fait :
-des pervers sociaux
-des pervers intellectuels,
qui ne sont pas des pervers sexuels évidemment ; il est possible d'avoir une structure perverse avec une sexualité des plus "normales",
- des structures et des fonctionnements sexuels pervers.
Le futur pervers ne reconnait pas la différence des sexes , il y aura une dichotomie entre le fantasme et la réalité et nepourra atteindre la jouissance qu'à travers une mise en scène ou un objet tel que le fétéchisme, l'objet fétiche n'étant que le "pénis féminin" et rien d'autre que cela.
Chez le pervers il y a toujours d'énormes efforts pour pour nier l'angoisse de castration et par inversion, un obessionnel; à titre d'exemple, vivra sa perversin cérébralement mais surtout pas sexuellement car celui ci tient l'affect à distance.
Le pervers vit donc des pulsions partielles de la sexualité infantile à l'état brut.
Tout simple"mnt la perversion est le négatif de la névrose, ce qui fera dire à FREUD que l'enfant est un pervers polymorphe.
Comme il y a toujours ,en plus, autre chose que la perversion dans une personnalité, l'approche devient assez difficle en astrologie de la reconnaissance de la perversion mais c'est reconnaissable tout de même.
- Dans la psychose:
c'est là qu'il reste le moins de ce qui est la Loi du Père.
La mère maintient la fusion avec son enfant quelle considère comme un appendice d'elle-même.
POUR LES ASTROLOGUES, LE POINT DE VUE COSMO-PSYCHOLOGIQUE

Puisque le visage de la mère apparaît en Maison VII, nous aurons à analyser la Maison VIl, le Maître de VII, les planètes en VII.
Cette Maison nous dira la qualité du double regard mère/enfant, de la première relation objectais, d'où découlera la qualité de toutes les relations ultérieures.
Car nous n'avons de relation avec les autres qu'en fonction de la relation que nous avons eu avec notre mère.
Notre façon de communiquer, d'aborder l'autre, le regard de l'autre, le visage de l'autre, n'est que la duplication de ce qui a été vécu dès la naissance avec notre mère.
Et souvent nous découvrirons que c'est ce qui s'est passé en XII qui se rejoue en VII.
Deux exemples de planètes ou points fictifs astrologiques en Maison VII.
1) La lune Noire en VII:
Il y a un vide, un manque, dans la rencontre du Visage maternel qui paraît étrange, étranger. Par la suite le visage de l'autre sera vécu aussi étranger, distant voir absent inexistant, rejetant.
En réalité, c'est le sujet porteur de cette Lune Noire qui suscite à la fois le rejet et le désir de rencontre.
La Balance a la même valeur symbolique que la Maison VII car la symbolique astrologique est surdéterminée, un même lieu zodiacal a toujours plusieurs significations superposées. une même signification put être donnée par plusieurs facteurs zodiacaux.
2) Neptune en VII :
Quelque chose de l'ordre de la fusion a perduré. L'enfant aura porté sur sa mère un regard de myope.
Adulte, il va conserver une myopie relationnelle, une difficulté à voir, à recevoir l'autre à la bonne distance, parfois rejetant, parfois comblant ce manque par le besoin de le toucher pour se comprendre.
On ne fait que chercher ce qui nous manque.
Ne pathologisons pas ces positions douloureuses; ces souffrances sont mobilisatrices car elles nous poussent à réparer quelque chose de nous.
Ne culpabilisons pas le comportement de l'enfant qui possède ces aspects. Ce n'est pas de sa faute, son -regard de bébé n-était que réoepteur, pas intentionnel. Le regard de la mère, lui, l'était plus ou moins consciemment.
A la réception, le bébé ne pense pas, il fantasme, ce qui est différent. Puis peu à peu il devient émetteur. Idéalement un aller et retour affectif et structurant s'installe.
Ne culpabilisons pas les mères non plus. S'il faut toujours aller dans le sens du thème, c'est là un impératif ; Il faut pouvoir suggérer l'utiiisabon positive des aspects réputés difficiles. Aucun thème n'est sans difficultés. Il est bien connu que c'est avec ces aspects là qu'on réalise. Il faut avoir à lutter contre quelque chose (souvent , une part de nous même)
Ne nous culpabilisons pas nous-même, astrologues, devant les thèmes de nos enfants et de ceux d'autrui
Avec ce que nous savons, il faut accepter notre responsabilité d'avoir à aider ces enfants au mieux de leur thème, et savoir aussi que nous aurons des deuils à faire.
Ici nous étudions le rapport à la mère, objectivement hors responsabilités, hors culpabilité.
Nous considérons qu'il y a interaction mère / enfant. C'est dans cette relation à 2 visages que se constitue cette Maison VII.
La théorie de Mélanie Klein mettra en évidence la relation du côté de l'enfant, du côté d s fantasmes, et ce qu'ils peuvent induire chez la mère.
N'oublions pas que c'est le thème de l'enfant que nous avons sous les yeux. Ce dessir dessein, c'est le sien, l'enfant ,que nous sommes, l'a choisi ; et ses parents sont là pour lui en permettre la mise en scène pour faire ce qu'ils peuvent avec ce thème et cet enfant.
L'enfant qui naît vient d'un monde aquatique, il baignait depuis neuf mois dans le liquide amniotique, il vient au monde imprégné des qualités neptuniennes de cette période gestation que nous attribuons à la Maison XII, analogique au monde des Poissons.
Ses perceptions sont floues, imprécises, peu à peu il va accéder à la réalité, par objets partie tel le sein, puis à une totalité qui est maman qu'il verra en VII.
L'image ci dessous (tarot, lame 10), à savoir la représentation du froid hivernal saturnien et de la chaleur de l'été solaire , représentés respectivement par un monstre aquatique typhnien cornu qui descend et un hermanubis à tête de chien (canicule) qui monte en sa qualité de génie bienfaisant qui va dilater le corps et activer l'oeuvre constructive mais ausi alchimique intérieure.
Cette image vient remémoriser que pour chacn d'entre nous tout débute par une oeuvre "aquatique" en étant imprégné de cet aspect neptunien et doit laisser la place au génie solaire qui construit la suite du développement de la vie sur la roue du temps.